Metto qui.
Secondo indiscrezioni riportate dalla stampa transalpina, Accor (il gruppo alberghiero francese) sarebbe pronto a rilevare la quota (pari al 14,3%) attualmente ‘posseduta’ dallo Stato.
Da Les Echos —
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Secondo indiscrezioni riportate dalla stampa transalpina, Accor (il gruppo alberghiero francese) sarebbe pronto a rilevare la quota (pari al 14,3%) attualmente ‘posseduta’ dallo Stato.
Da Les Echos —
Air France-KLM : AccorHotels convoite la participation de l'Etat
EXCLUSIF - Le groupe hôtelier aurait proposé d'acheter les 14,3 % détenus par l'Etat. Les discussions qui viennent de s'engager explorent trois scénarios.
Et si Air France-KLM volait de ses propres ailes ? Officiellement, le sujet n'est pas d'actualité. L'Etat-actionnaire et les autres membres du conseil de la compagnie affirment n'avoir qu'une chose en tête : trouver un nouveau PDG pour reprendre les commandes du groupe franco néerlandais après le départ précipité de Jean-Marc Janaillac.
Une « chasse » a d'ailleurs été lancée au lendemain de l'assemblée générale du 15 mai pour trouver l'oiseau rare avec pour objectif de sortir dès que possible de la crise de gouvernance déclenchée par le référendum salarial perdu à la surprise générale par l'ancien PDG début mai .
Un coup de tonnerre
Mais en coulisse, un scénario beaucoup plus ambitieux serait à l'étude. Afin de régler le « cas Air France » une fois pour toutes, l'Etat envisagerait de se défaire de tout ou partie de ses 14,3 % au capital du groupe franco néerlandais. Selon nos informations, il en étudierait en tout cas sérieusement la possibilité, depuis que les dirigeants d'AccorHotels ont manifesté leur intérêt pour sa participation.
Ce processus alternatif ne fait que débuter, et côté Etat-actionnaire, on ne se serait pas encore fait une religion sur le sujet. Certains refusent en effet de s'engager dans cette voie sans l'accord du conseil d'Air France-KLM. Mais des discussions auraient bel et bien été entamées pour définir la forme que pourrait prendre une éventuelle opération. Au sein de l'Exécutif comme dans l'entourage du leader mondial de l'hôtellerie hors Etats-Unis, on se refusait ce dimanche à tout commentaire.
Il faut dire que le dossier est extrêmement sensible. Depuis la naissance d'Air France, la puissance publique a toujours été l'actionnaire dominant de la compagnie nationale. Rien n'est encore fait, mais si les négociations en cours devaient aboutir, ce serait donc un véritable coup de tonnerre. Pour Air France-KLM, bien sûr.
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