Incidente A330 Air France Rio-Parigi 01/06/2009


http://www.flightglobal.com/article...wing-weather-radar-use-after-af447-crash.html

DATE:09/07/09
SOURCE:Air Transport Intelligence news
Air France reviewing weather-radar use after AF447 crash: CEO
By David Kaminski-Morrow

Air France is reviewing crew training, use of weather radar and the availability of meteorological information for pilots following the loss of flight AF447 over the South Atlantic last month.

Chief executive Pierre-Henri Gourgeon disclosed the measures a week after investigators divulged details about meteorological conditions at the time of the Airbus A330's disappearance, and the course deviations performed by other aircraft in the vicinity.

In a transcript published by the airline after he spoke to a French newspaper, Gourgeon said there was "never any arbitration" between safety and economy and highlighted operations during weather as an example.

"For example, it's written down in black and white that, when there are storms, you go around them," he says. "There is no question of saving on fuel. Pilots are totally free to choose their route."

One of the aspects of the investigation is the choice of flight track by AF447's crew. Investigators have stated that "several" other flights - ahead of, and trailing, AF447 at about the same altitude - altered course to avoid cloud masses.

These flights included another Air France A330 operating the AF459 service from Sao Paulo to Paris. Gourgeon says this crew crossed a turbulent area that had not been detected on weather radar and, as a result, increased the sensitivity - subsequently avoiding a "much worse" area of turbulence.

"Flight 447 didn't have the good fortune to encounter that first warning and may not have been able to avoid the second very active storm," adds Gourgeon.

France's Bureau d'Enquetes et d'Analyses says the crew of AF459, which had been 37min behind AF447, detected echoes on the weather radar which "differed significantly" depending on the radar setting.

The crew initially chose to deviate 20nm to the west but the radar then showed an extensive squall line which led them to deviate to the east by 70-80nm.

"On the strength of that report, we are going to review the way we use radar," says Gourgeon. "Whether or not that was the cause of the loss of flight 447, we have to examine every factor and improve all of our procedures and rules."
 
http://www.flightglobal.com/article...wing-weather-radar-use-after-af447-crash.html

DATE:09/07/09
SOURCE:Air Transport Intelligence news
Air France reviewing weather-radar use after AF447 crash: CEO
By David Kaminski-Morrow

Air France is reviewing crew training, use of weather radar and the availability of meteorological information for pilots following the loss of flight AF447 over the South Atlantic last month.

Chief executive Pierre-Henri Gourgeon disclosed the measures a week after investigators divulged details about meteorological conditions at the time of the Airbus A330's disappearance, and the course deviations performed by other aircraft in the vicinity.

In a transcript published by the airline after he spoke to a French newspaper, Gourgeon said there was "never any arbitration" between safety and economy and highlighted operations during weather as an example.

"For example, it's written down in black and white that, when there are storms, you go around them," he says. "There is no question of saving on fuel. Pilots are totally free to choose their route."

One of the aspects of the investigation is the choice of flight track by AF447's crew. Investigators have stated that "several" other flights - ahead of, and trailing, AF447 at about the same altitude - altered course to avoid cloud masses.

These flights included another Air France A330 operating the AF459 service from Sao Paulo to Paris. Gourgeon says this crew crossed a turbulent area that had not been detected on weather radar and, as a result, increased the sensitivity - subsequently avoiding a "much worse" area of turbulence.

"Flight 447 didn't have the good fortune to encounter that first warning and may not have been able to avoid the second very active storm," adds Gourgeon.

France's Bureau d'Enquetes et d'Analyses says the crew of AF459, which had been 37min behind AF447, detected echoes on the weather radar which "differed significantly" depending on the radar setting.

The crew initially chose to deviate 20nm to the west but the radar then showed an extensive squall line which led them to deviate to the east by 70-80nm.

"On the strength of that report, we are going to review the way we use radar," says Gourgeon. "Whether or not that was the cause of the loss of flight 447, we have to examine every factor and improve all of our procedures and rules."

... quindi per ora si ipotizza sfortuna/errore umano ... Cosa sicuramente possibile, ma che sinceramente faccio molta fatica ad accettare
 
Ultima modifica:
Incidente Air France: i relitti in viaggio per la Francia
Le circa 640 parti recuperate dell’Airbus precipitato nell’Atlantico sono state inviate in Francia a bordo di una nave, la “Ville de Bordeaux”, che dovrebbe arrivare a destinazione verso la meta di luglio. I relitti verranno sottoposti ad ulteriori indagini in una base militare nei pressi di Tolosa
Dedalonews
 
AF447 : les débris de l'A330 sont arrivés en France

B.F. (lefigaro.fr) avec agences
15/07/2009 | Mise à jour : 08:33

Les 640 pièces ainsi que la dérive doivent maintenant être acheminés à Toulouse, pour être examinés par le bureau enquête analyses.

Les débris de l'Airbus A330 sont arrivés en France. Mardi soir, peu après 19 heures, les débris de l'avion qui ont pu être récupérés au large du Brésil sont arrivés dans un cargo à Pauillac, aux environs de Bordeaux. «Mis à la disposition des enquêteurs par Airbus», le Ville de Bordeaux, un roulier de 154 mètres de long habituellement utilisé pour transporter les tronçons de l'A380 depuis les usines européennes du groupe, était parti de Recife début juillet.

Devant des badauds et des journalistes tenus à distance par des gendarmes, les quelque 640 pièces entreposées dans quatre conteneurs et une caisse bleue, ainsi que la dérive, ont été successivement déposées avec précaution sur une barge, elle aussi utilisée jusqu'alors pour l'assemblage de l'A380. Suivant le même parcours que les pièces de l'avion géant, les débris de l'A330 doivent maintenant être acheminés jusqu'à Langon sur la Garonne, avant de finir le voyage en camion.

Une fois à Toulouse, les débris de l'A330 n'arriveront pas dans les usines d'Airbus mais au centre d'essais aéronautique (CEAT), le principal centre européen d'essais au sol d'avions civils et militaires. Cette structure, qui dépend du ministère de la Défense, travaille régulièrement pour le bureau enquête analyses. Les éléments seront alors examinés «sous le contrôle de la gendarmerie du transport aérien et du BEA», ont précisé les enquêteurs.

Outre la dérive, retrouvée quasi intacte, «les éléments identifiés proviennent de l'ensemble des zones de l'avion», avait indiqué le BEA. Les galeys, ces meubles pour les plateaux repas, des morceaux de plancher, des gilets de sauvetage non gonflés ainsi que des sièges ont en effet pu être repêchés. L'analyse des 640 pièces doit permettre d'en savoir davantage sur les causes du crash qui a provoqué la mort de 228 personnes. Les enquêteurs français ont déjà exclu l'hypothèse d'une dislocation en vol de l'avion.
 
Ma perche' non si concentra a scrivere belle canzoni, che in quello e' anche bravo....
 
AF 447 : ultime tentative pour retrouver les boîtes noires

Fabrice Amedeo
20/07/2009 | Mise à jour : 22:52

Les enregistreurs de l'Airbus n'émettent plus. Une nouvelle campagne débute dans l'Atlantique pour tenter de les récupérer en localisant l'épave de l'avion.

Tout espoir n'est pas perdu. C'est le message que martèlent les autorités alors que reprennent cette semaine les recherches de l'épave du vol AF 447 qui s'est abîmé dans l'Atlantique Sud le 1er juin. Une deuxième campagne débute après une pause d'une dizaine de jours puisqu'il ne s'agit plus de localiser les boîtes noires en «écoutant» et localisant leur signal mais d'explorer «visuellement» au moyen d'un sonar le relief quasi alpestre des grands fonds de cette partie de l'Atlantique Sud. Cette fois, l'objectif est de trouver l'épave de l'appareil.

Les boîtes noires n'émettant qu'un mois, théoriquement, elles se sont en effet tues le 1er juillet dernier. Les forces françaises s'étaient néanmoins donné jusqu'au 10 juillet. «L'émission d'un mois seulement est théorique, explique un proche du dossier. Elle a très bien pu se poursuivre plusieurs jours.» Ces recherches étaient menées par le sous-marin nucléaire français, l'Émeraude, ainsi que le navire de l'Ifremer, le Pourquoi pas ?. Le bateau français était équipé d'un «répéteur acoustique» au bout d'un filin de 1 500 mètres de long.


«Le cri d'une baleine»

Plusieurs fausses alertes ont eu lieu durant cette phase de recherche, les autorités présentes sur place ayant cru plusieurs fois entendre les fameuses boîtes noires. «Leur signal peut être tellement ténu qu'il peut avoir été confondu avec le cri d'une baleine», explique un proche du dossier.

Cette campagne de recherches n'ayant pas abouti, une autre commence mais avec de nouveaux moyens. Les équipes ont été relevées la semaine dernière et de nouveaux équipements embarqués. La zone de 16 000 km² supposée être celle du point d'impact de l'avion va ainsi être quadrillée une seconde fois durant quatre à six semaines.

Un système acoustique embarqué (SAR), un sonar d'étude du relief marin a remplacé le «répéteur acoustique» au bout du câble de 1 500 mètres de long à bord du Pourquoi pas ?. Cet outil qui est efficace jusqu'à 6 000 mètres de fond va parcourir le relief de cette zone sous-marine peu connue de l'Atlantique Sud et permettre de localiser toute épave reposant au fond.

Dorénavant, tout espoir de connaître la vérité sur l'accident du vol AF 447 repose donc sur la découverte de son épave. La carcasse de l'avion permettrait d'apporter de nouvelles informations aux enquêteurs qui pour l'instant n'ont que peu de pièces à expertiser : 1 100 en tout qui constituent une faible part de l'appareil. Mais ce sont véritablement les boîtes noires qui permettront de lever le mystère sur ce drame. À condition qu'elles n'aient pas été projetées hors de l'appareil lors de l'impact dans l'océan. Après l'accident du Boeing 737 de la compagnie Adam Air début 2007 au large de l'Indonésie, il avait fallu huit mois aux autorités américaines pour repêcher les boîtes noires. Elles étaient intactes et reposaient par 2 000 mètres de fond. En revanche, les recherches du Boeing 747 de la South African Airways disparu en 1987 dans l'océan Indien n'ont jamais rien donné.

http://www.lefigaro.fr/actualite-fr...ntative-pour-retrouver-les-boites-noires-.php
 
Ciao TW 843, grazie, come sempre, per la tua attività di informazione costante sul disastro Af447.

La questione dei tubi di pitot, ad oggi, che piega ha preso? ... Sembrava che fosse una delle possibili concause della tragedia, poi, silenzio assoluto ...
 
Ciao TW 843, grazie, come sempre, per la tua attività di informazione costante sul disastro Af447.

La questione dei tubi di pitot, ad oggi, che piega ha preso? ... Sembrava che fosse una delle possibili concause della tragedia, poi, silenzio assoluto ...

Figurati, siccome la cosa mi interessa molto ogni novità che trovo in giro la posto.

Sui pitot è calato il slienzio anche se questi continuano a farci molto rumore sopra:
http://www.eurocockpit.com/archives/indiv/E009479.php
 
Salve a tutti, sono in ferie in Trentino e stamane ho letto la notizia del riconoscimento di una delle vittime italiane perite nel disastro. Si tratta di Rino Zandonai originario di Pedersano (Tn). Un pensiero a lui a alle altre vittime che non sono state ritrovate.
 
Copio da A.net uno schema di dove erano seduti i pax che sono stati recuperati & identificati:
phpvS4qVq.gif