Secondo queste indiscrezioni di La Tribune:
http://www.latribune.fr/entreprises...65235/le-plan-low-cost-d-air-france-klm-.html
http://www.latribune.fr/entreprises...65235/le-plan-low-cost-d-air-france-klm-.html
Sospeso il progetto di base Transavia France a Nizza
- Autore Discussione TW 843
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goafan
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Mi ci mancava anche questa!
Nell'articolo si spiega che in particolare con Transavia France alcune rotte regionali deficitarie, attualmente operate da Britair e Regional, passerebbero al ramo lowcost per competere meglio con gli altri vettori. Inoltre si sfrutterebbero le macchine anche per qualche volo per il bacino mediterraneo (immagino anche Marocco).
CIAO
_goa
Nell'articolo si spiega che in particolare con Transavia France alcune rotte regionali deficitarie, attualmente operate da Britair e Regional, passerebbero al ramo lowcost per competere meglio con gli altri vettori. Inoltre si sfrutterebbero le macchine anche per qualche volo per il bacino mediterraneo (immagino anche Marocco).
CIAO
_goa
UPDATE
E' dato ormai per certo che Transavia France abbia detto un categorico NO a questa iniziativa della casa madre. Peranto, non si farà nulla.
La strategia della compagnia è difatti quella di continuare col business model del "charter mix"..ovvero un modello ibrido di voli charter/linea verso rotte marcatamente leisure, in forte collaborazione con i t.o. francesi, che hanno in mano il 55% della capacità totale di Transavia France.
E' dato ormai per certo che Transavia France abbia detto un categorico NO a questa iniziativa della casa madre. Peranto, non si farà nulla.
La strategia della compagnia è difatti quella di continuare col business model del "charter mix"..ovvero un modello ibrido di voli charter/linea verso rotte marcatamente leisure, in forte collaborazione con i t.o. francesi, che hanno in mano il 55% della capacità totale di Transavia France.
goafan
Utente Registrato
Air France : le lancement de lignes low cost au départ de Nice repoussé mais pas abandonné
La semaine passée, la presse annonçait qu'Air France renonçait à lancer des lignes low cost au départ de Nice . Le projet consistait à positionner la filiale à bas coûts Transavia pour reprendre des parts de marché à easyJet. Mais devant l'opposition des syndicats, la direction a reculé. Enfin, pour l'instant...
Car parfois il faut savoir lire entre les lignes. Lionel Guérin, le patron de Transavia, a indiqué que "le projet ne se ferait pas cette année ". Il pourrait cependant être relancé en 2011 comme nous l'ont indiqué plusieurs sources syndicales.
Dans une lettre que titresdetransport s'est procurée et qui a été envoyée le 24 février, Jean-Yves Grosse, patron de Régional Airlines, autre filiale d'Air France, l'a indiqué à ses syndicats maison. Rappelons que Transavia devait se substituer à Regional et Britair sur plusieurs lignes domestiques déficitaires. Grosse indique que l'abandon de ce projet dans l'immédiat "ne règle en rien l'altération de notre efficacité économique. Aussi nous faudra-t-il, sans précipitation mais sans perdre de temps, engager une nouvelle réflexion pour construire les indispensables réponses aux évolutions profondes de notre environnement économique et concurrentiel". En clair, il va falloir en reparler.
D'ailleurs, un ancien administrateur nous confiait la semaine passée que le lancement de Transavia en France en 2007 avait bien comme ambition première d'apporter une réponse à Air France face aux low cost. Mais la direction, confrontée à une fronde des syndicats, n'arrive pas à faire passer ses projets.
C'est aussi le cas sur la réforme du moyen courrier, fortement déficitaire à cause de la concurrence des compagnies à bas coûts. Pierre-Henri Gourgeon, le DG d'Air France, a lancé un projet destiné à réduire les coûts salariaux des vols européens pour redresser les comptes de cette activité. Vendredi il a annoncé qu'il repoussait également ce projet pour se donner le temps de la discussion avec les syndicats . Inquiétant, dans la mesure où Air France s'apprête à publier ses pires résultats depuis quinze ans, avec probablement une perte de 1,3 milliard d'euros en 2009.
titresdetransport.blog.capital.fr
CIAO
_goa
La semaine passée, la presse annonçait qu'Air France renonçait à lancer des lignes low cost au départ de Nice . Le projet consistait à positionner la filiale à bas coûts Transavia pour reprendre des parts de marché à easyJet. Mais devant l'opposition des syndicats, la direction a reculé. Enfin, pour l'instant...
Car parfois il faut savoir lire entre les lignes. Lionel Guérin, le patron de Transavia, a indiqué que "le projet ne se ferait pas cette année ". Il pourrait cependant être relancé en 2011 comme nous l'ont indiqué plusieurs sources syndicales.
Dans une lettre que titresdetransport s'est procurée et qui a été envoyée le 24 février, Jean-Yves Grosse, patron de Régional Airlines, autre filiale d'Air France, l'a indiqué à ses syndicats maison. Rappelons que Transavia devait se substituer à Regional et Britair sur plusieurs lignes domestiques déficitaires. Grosse indique que l'abandon de ce projet dans l'immédiat "ne règle en rien l'altération de notre efficacité économique. Aussi nous faudra-t-il, sans précipitation mais sans perdre de temps, engager une nouvelle réflexion pour construire les indispensables réponses aux évolutions profondes de notre environnement économique et concurrentiel". En clair, il va falloir en reparler.
D'ailleurs, un ancien administrateur nous confiait la semaine passée que le lancement de Transavia en France en 2007 avait bien comme ambition première d'apporter une réponse à Air France face aux low cost. Mais la direction, confrontée à une fronde des syndicats, n'arrive pas à faire passer ses projets.
C'est aussi le cas sur la réforme du moyen courrier, fortement déficitaire à cause de la concurrence des compagnies à bas coûts. Pierre-Henri Gourgeon, le DG d'Air France, a lancé un projet destiné à réduire les coûts salariaux des vols européens pour redresser les comptes de cette activité. Vendredi il a annoncé qu'il repoussait également ce projet pour se donner le temps de la discussion avec les syndicats . Inquiétant, dans la mesure où Air France s'apprête à publier ses pires résultats depuis quinze ans, avec probablement une perte de 1,3 milliard d'euros en 2009.
titresdetransport.blog.capital.fr
CIAO
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goafan
Utente Registrato
Transavia, la filiale low-cost de la compagnie française, renonce à lancer des vols intérieurs en 2010 au départ du premier aéroport régional.
Le ciel de la Baie des Anges est dégagé pour Easyjet. Air France renonce, pour l'heure, à lancer sa filiale « mi-charter-mi-low-cost » à Nice pour exploiter, à la place de ses filiales régionales Britair et Regional en pertes, des lignes intérieures vers quatre grandes villes de régions. Cela aurait constitué une grande première. Baptisé Mimosa (voir « La Tribune » du 22 janvier 2010), ce projet s'accompagnait de vols vers plusieurs destinations du bassin méditerranéen (Maroc, Crète) pour augmenter l'utilisation des avions.
« Ce projet ne se fera pas cette année », a déclaré ce jeudi le PDG de Transavia France, Lionel Guérin. « Cette année, on se développe suffisamment (28 % de hausse de capacité), nous allons vers l'équilibre et nous ne voulons pas prendre de risques inconsidérés », a-t-il indiqué, sans préciser si au-delà de l'année en cours, ce projet pouvait ressortir des cartons.
Accord de périmètre
En outre, ce projet nécessitait de réviser l'accord de périmètre signé par la direction d'Air France et ses pilotes, lors de la création de Transavia fin 2006. Cet accord interdit les transferts d'activité du pavillon Air France vers Transavia. Or, les pilotes d'Air France, mais aussi de Britair et Regional, ont mis des bâtons dans les roues. Ceci, alors que le projet de réforme du réseau moyen-courrier d'Air France fait l'objet de contestations. « Il y a eu une situation de blocage. C'était pourtant un dossier facile », explique un dirigeant d'Air France.
Mimosa visait à anticiper une éventuelle offensive d'Easyjet à Nice. C'est en effet envisageable. Alors que son directeur France François Bacchetta a indiqué mercredi qu'il ouvrirait « de nouvelles lignes transversales à l'avenir », Easyjet étudie, selon nos informations, depuis plusieurs mois la possibilité de baser des avions à Nice, le premier aéroport régional, pour développer à la fois des lignes transversales et vers le bassin méditerranéen. De quoi renforcer les difficultés de Britair et Regional.
Fabrice Gliszczynski
CIAO
_goa
Le ciel de la Baie des Anges est dégagé pour Easyjet. Air France renonce, pour l'heure, à lancer sa filiale « mi-charter-mi-low-cost » à Nice pour exploiter, à la place de ses filiales régionales Britair et Regional en pertes, des lignes intérieures vers quatre grandes villes de régions. Cela aurait constitué une grande première. Baptisé Mimosa (voir « La Tribune » du 22 janvier 2010), ce projet s'accompagnait de vols vers plusieurs destinations du bassin méditerranéen (Maroc, Crète) pour augmenter l'utilisation des avions.
« Ce projet ne se fera pas cette année », a déclaré ce jeudi le PDG de Transavia France, Lionel Guérin. « Cette année, on se développe suffisamment (28 % de hausse de capacité), nous allons vers l'équilibre et nous ne voulons pas prendre de risques inconsidérés », a-t-il indiqué, sans préciser si au-delà de l'année en cours, ce projet pouvait ressortir des cartons.
Accord de périmètre
En outre, ce projet nécessitait de réviser l'accord de périmètre signé par la direction d'Air France et ses pilotes, lors de la création de Transavia fin 2006. Cet accord interdit les transferts d'activité du pavillon Air France vers Transavia. Or, les pilotes d'Air France, mais aussi de Britair et Regional, ont mis des bâtons dans les roues. Ceci, alors que le projet de réforme du réseau moyen-courrier d'Air France fait l'objet de contestations. « Il y a eu une situation de blocage. C'était pourtant un dossier facile », explique un dirigeant d'Air France.
Mimosa visait à anticiper une éventuelle offensive d'Easyjet à Nice. C'est en effet envisageable. Alors que son directeur France François Bacchetta a indiqué mercredi qu'il ouvrirait « de nouvelles lignes transversales à l'avenir », Easyjet étudie, selon nos informations, depuis plusieurs mois la possibilité de baser des avions à Nice, le premier aéroport régional, pour développer à la fois des lignes transversales et vers le bassin méditerranéen. De quoi renforcer les difficultés de Britair et Regional.
Fabrice Gliszczynski
CIAO
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goafan
Utente Registrato
Più che altro sono i sindacati di Air France e Britair / Regionale che si sono messi contro, Transavia France non esclude di rinviare il progetto al 2011.
CIAO
_goa
Il board di Transavia France ha detto, l'altro giorno, che non è interessato minimamente ad un'operazione del genere.
Il business model della compagnia rimarrà sempre quello attuale. Che è quello vincente, anche a detta loro.
goafan
Utente Registrato
AF ha quindi la maggioranza assoluta e se decide può far aprire la base Trasavia France a Nizza.
Ma non è per nulla vero.
Essendo una JV non si possono prendere decisioni unilaterali.
La strategia di Transavia France e Transavia Denmark, passa sempre dai Paesi Bassi.