Mentre, come direbbe la Consoli ..non molto lontano da qui, si continua a chiacchierare inutilmente sul non da farsi, in Romania la Ministra dei Trasporti ha deciso che Baneasa, situato alla periferia della capitale, sarà presto riservato a pochi eletti. Tutto il resto del mondo si dovrà accontentare di Otopeni
Les compagnies low cost desservant Bucarest devront déménager à l’aéroport international d’Otoponi, l’aéroport de Baneasa, qu’elles utilisent actuellement, devenant un aéroport d’affaires d’ici 2012-2013.
La ministre des Transports de Roumanie, Anca Boagiu, a décidé de réorganiser les aéroports de Bucarest. Baneasa, à la périphérie de la capitale roumaine, sera ainsi réservé aux vols d’affaires et aux Première classe. Il deviendra en quelque sorte un aéroport VIP.
Les compagnies low cost, Blue Air, Wizz Air, EasyJet, Vueling et WindJet sont donc priées de transférer leurs vols sur celui Otoponi, plus éloigné, et de rejoindre leurs consœurs régulières.
Ce transfert aura bien sûr un coût, puisque les taxes sont plus importantes à l’aéroport international. Selon l’agence de presse Mediafax, la ministre des Transports a estimé cette augmentation à au moins 4,5 euros par billets. Un surcoût auquel les consommateurs ne devraient pas être sensibles, selon elle.
airjournal
Les compagnies low cost desservant Bucarest devront déménager à l’aéroport international d’Otoponi, l’aéroport de Baneasa, qu’elles utilisent actuellement, devenant un aéroport d’affaires d’ici 2012-2013.
La ministre des Transports de Roumanie, Anca Boagiu, a décidé de réorganiser les aéroports de Bucarest. Baneasa, à la périphérie de la capitale roumaine, sera ainsi réservé aux vols d’affaires et aux Première classe. Il deviendra en quelque sorte un aéroport VIP.
Les compagnies low cost, Blue Air, Wizz Air, EasyJet, Vueling et WindJet sont donc priées de transférer leurs vols sur celui Otoponi, plus éloigné, et de rejoindre leurs consœurs régulières.
Ce transfert aura bien sûr un coût, puisque les taxes sont plus importantes à l’aéroport international. Selon l’agence de presse Mediafax, la ministre des Transports a estimé cette augmentation à au moins 4,5 euros par billets. Un surcoût auquel les consommateurs ne devraient pas être sensibles, selon elle.
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